Si la dysorthographie était un personnage de conte, elle serait un lutin farceur

Si la dysorthographie était un personnage de conte, elle serait un lutin farceur

Il était une fois une coach qui aimait raconter des histoires sur son blog…

On la surnommait “Madame Dys” et elle aimait particulièrement les contes. 

Pourquoi ?

“Les contes, nous le savons maintenant, nous aident à guérir. Ils permettent de nommer l’indicible, de dénouer les contradictions, de réparer les blessures de notre histoire présente et passée. Ils nous aident à grandir, à croître et à nous harmoniser. […] ils nous proposent des associations qui nous illuminent dans une limpide atmosphère et nous déposent, plus apaisés, aux confins de l’imaginaire et du réel.” Jacques Salomé

Contes, Proverbes et Légendes des Antilles. Tome 2
Auteur : Myriam Lother

Je vous invite à plonger dans un monde d’imagination où la dysorthographie prendrait la forme d’un lutin farceur. Dans cet univers enchanteur, les luttes et les défis auxquels sont confrontées les personnes dysorthographiques prennent vie à travers les facéties d’un lutin espiègle.

Le chaos des lettres

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Imaginez un lutin farceur, connu pour ses tours et ses plaisanteries, se précipitant et semant le chaos pour ceux qui tentent d’écrire ou d’épeler. Avec un éclat espiègle dans les yeux, il se délecte de transformer les mots en un amas de lettres, égarant les écrivains et les laissant perplexes. Le lutin farceur de la dysorthographie devient une métaphore vivante, personnifiant les difficultés rencontrées lorsque les mots semblent jouer des tours à notre esprit.

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Dans ce monde féérique enchanteur, le lutin farceur visite les salles de classe, les salles de réunion et même les foyers les plus chaleureux, répandant son charme trouble partout où il va. Les enfants se retrouvent à réarranger les lettres maintes et maintes fois, le lutin ricanant de manière espiègle alors qu’ils s’efforcent d’épeler des mots simples. Les professionnels luttent contre les suggestions de correction automatique qui semblent être ensorcelées par le lutin, choisissant des remplacements les plus bizarres et les plus déconnectés.

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Surmonter les défis

Mais au milieu du chaos semé par le lutin farceur, il y a de l’espoir. Cette fable nous rappelle que la dysorthographie ne définit pas la valeur ou l’intelligence d’une personne. Tout comme les personnages des contes de fées surmontent les obstacles avec détermination et soutien, les personnes dysorthographiques peuvent relever les défis auxquels elles font face avec résilience et persévérance.

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Comme pour les autres troubles DYS, il est essentiel de marteler que la dysorthographie ne reflète ni l’intelligence ni l’aptitude. Avec le bon soutien et les bonnes stratégies, les personnes dysorthographiques peuvent surmonter les défis posés par ce trouble d’apprentissage. Dans ce monde enchanteur, les outils et les techniques « magiques » aident à contrer les tours du lutin et favorisent la découverte de stratégies d’apprentissage efficaces. Enseignants et professionnels peuvent jouer un rôle essentiel en proposant des interventions ciblées. Par exemple, instructions orthographiques explicites, techniques d’apprentissage multisensorielles, technologies d’assistance. Les membres de la famille sont aussi des alliés solides, fournissant encouragement et compréhension tout au long du parcours.

Renforcer l’estime de soi

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Un aspect essentiel du soutien aux personnes dysorthographiques consiste à renforcer leur estime de soi. Encourager un environnement ouvert et favorable mettant l’accès sur le progrès plutôt que sur la perfection peut avoir un impact significatif sur leur résilience et leur motivation. Reconnaître et célébrer les réalisations, grandes et petites, renforcent une perception positive de soi.

En conclusion, la personnification de la dysorthographie sous la forme d’un lutin farceur offre un nouvel angle pour comprendre et aborder les défis auxquels sont confrontées les personnes dysorthographiques. En reconnaissant le lutin farceur de la dysorthographie, nous pouvons encourager l’empathie, le soutien et des pratiques éducatives inclusives.

Quel est ton conte préféré, et pourquoi ? Dis-le moi en commentaires

D comme Dysorthographie – L comme Lutin

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6 réponses à “Si la dysorthographie était un personnage de conte, elle serait un lutin farceur”

  1. Très inspirant ce conte! J’ai souvent aidé les jeunes à démystifier leurs troubles en leur expliquant, entre autres, que leur cerveau leur jouait des tours et ils apprenaient à les déjouer, mais j’aime l’idée du lutin qui joue des tours!

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